Niola Lynn Sarah Dévalis Octavius : L’architecte d’une diplomatie éducative ambitieuse

Dans un contexte national où la jeunesse attend des perspectives solides, la Ministre de la Jeunesse, des Sports et de l’Action Civique, Niola Lynn Sarah Dévalis Octavius, s’affirme comme une figure visionnaire et stratégique. Par son action résolue, elle a permis que les bourses d’études offertes par Taïwan à Haïti passent d’une vingtaine à quarante-sept par an, ouvrant de nouvelles portes à l’excellence académique et inscrivant l’éducation au cœur d’une diplomatie audacieuse et efficace.

Il est des ministres qui se contentent de gérer un portefeuille. Il en est d’autres qui transforment leur mission en levier de transformation nationale. Niola Lynn Sarah Dévalis Octavius appartient à cette seconde catégorie.

Depuis son entrée au MJSAC, elle a conjugué stratégie, vision et action pour inscrire l’éducation, le sport et l’action civique dans une dynamique cohérente, capable de façonner une génération prête à relever les défis d’un Haïti moderne et compétitif.

Le 25 juillet 2024, à Paris, dans le cadre des Jeux Olympiques, la ministre saisit une occasion qui aurait pu se limiter à une simple rencontre protocolaire avec Cheng Ying-Yao, Ministre taïwanais de l’Éducation chargé des Sports. Mais son sens de la diplomatie et son engagement pour la jeunesse haïtienne transforment l’échange en négociation décisive.

Résultat : grâce à son intervention, le nombre de bourses offertes par Taïwan passe de vingt à quarante-sept par an, réparties entre premier et second cycles universitaires. Ce chiffre, au-delà de sa valeur statistique, symbolise une vision : celle d’un État qui élève l’éducation au rang de priorité nationale et d’instrument de diplomatie.

Août 2025, Port-au-Prince. Quarante-sept lauréats, bénéficiaires des programmes MOFA Taiwan Scholarship et ICDF International Higher Education Scholarship, reçoivent leur certificat. La ministre, dans un discours à la fois solennel et inspirant, rappelle qu’en 2024, seule une quinzaine de jeunes avaient bénéficié de ces opportunités. Aujourd’hui, ils sont quarante-sept, et demain, elle vise la centaine. Chaque chiffre devient ici une preuve tangible de son ambition et de sa capacité à transformer la diplomatie éducative en acte concret.

« Ce certificat n’est pas un simple document, affirme-t-elle, il est le sceau d’une promesse envers votre famille, votre communauté et votre pays. » Derrière cette affirmation, il y a une exigence : la connaissance acquise à l’étranger doit revenir fertiliser le sol natal. La ministre invite les boursiers à être porteurs d’innovations, de solutions et d’une vision qui serve le bien commun.

Au-delà de l’échelle nationale, Niola Lynn Sarah Dévalis Octavius pose un acte de soft power diplomatique. En remerciant Taïwan pour son engagement, elle lance également un appel aux autres pays : investir dans la jeunesse haïtienne n’est pas un geste philanthropique, mais un pari stratégique sur l’avenir et la stabilité du pays.

Dans un paysage politique souvent dominé par l’urgence et l’effet d’annonce, la ministre incarne la constance, la vision et la stratégie. Chaque bourse accordée est une pierre ajoutée à la construction invisible mais essentielle d’un Haïti instruit, compétent et capable de transformer ses défis en opportunités.

Niola Lynn Sarah Dévalis Octavius n’est pas seulement une ministre ; elle est un capitaine de la jeunesse haïtienne, une visionnaire qui trace, avec détermination, une ligne droite vers un avenir éclairé et durable.