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Kenscoff : Sécurité en déroute, l’État sur la sellette

Le week-end dernier, la commune de Kenscoff a été le théâtre de scènes choquantes impliquant des unités des forces de sécurité, comme en témoignent plusieurs résidents et observateurs locaux. Ces événements surviennent dans un contexte déjà marqué par une insécurité croissante et des déclarations polémiques de personnalités publiques, qui alimentent un climat de méfiance.



Selon les témoignages de plusieurs habitants, des policiers déployés dans la zone auraient adopté un comportement inapproprié. Certains agents auraient été vus en train de consommer de l’alcool durant leur service, tandis que d’autres passaient leur temps à échanger librement sur les réseaux sociaux, ignorant les principes de discipline et de vigilance attendus dans leur fonction. Un tel relâchement dans le maintien de l'ordre soulève des inquiétudes quant à la capacité des forces de sécurité à faire face aux défis actuels.


Des informations font également état d'un manque criant de moyens logistiques, aggravant la situation. Une trentaine d'agents, mal équipés, opèrent sur le terrain avec un seul véhicule en état de marche, tandis que d’autres ressources seraient détournées à des fins non prioritaires. Les unités spécialisées, souvent citées en exemple dans d'autres régions, voient leur efficacité restreinte en raison de plages horaires d’intervention limitées.


Dans un contexte encore plus préoccupant, des sources sécuritaires évoquent des liens présumés entre certains individus arrêtés et un réseau structuré impliqué dans la fourniture d’armes et de véhicules blindés à des groupes armés. Une enquête serait en cours, bien qu’aucune confirmation officielle n’ait encore été rendue publique.


Cependant, un acte isolé mais significatif a été observé sur la route de Batimat, où les autorités locales ont pris en charge des enfants de rue. Un geste, bien que ponctuel, salué par les citoyens et porteur d’un mince espoir dans un climat où la confiance envers les institutions demeure fragile.


Face à ces contradictions, l’opinion publique attend des réponses claires et immédiates. Pour beaucoup, il ne s’agit plus uniquement de garantir la sécurité des citoyens, mais de rétablir la crédibilité de l'État et de ses institutions. Une tâche ardue, mais essentielle pour restaurer la confiance et l’ordre public dans la commune.


LE REFLET

 
 
 

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