CHRONIQUE – Massillon JEAN, le maire qui ne part pas
- Joel Agoudou
- il y a 18 heures
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Par Joel Agoudou
Il aurait pu fuir. Comme tant d’autres. Il aurait pu, dans le silence de l’abandon, choisir la voie de la prudence, celle qui éloigne du danger, des menaces, du chaos. Mais non. Massillon JEAN est resté. Et à Kenscoff, ce simple choix de rester a suffi à faire de lui un symbole. Un héros.

On l’appelle aujourd’hui avec respect et fierté : « Notre Héros ». Un surnom né des rues, des marchés, des commissariats, mais surtout des cœurs. Car ce maire, discret et résolu, incarne une valeur devenue rare dans nos institutions : le courage tranquille. Celui qui agit sans bruit, mais jamais sans impact.
Dans un pays où tant de responsables deviennent invisibles à la première secousse, Massillon JEAN demeure. Il refuse de confondre engagement public et stratégie politique. Il ne joue pas de rôle : il vit sa mission. À Kenscoff, il est bien plus qu’un élu. Il est un voisin attentif, un appui constant, un repère silencieux.
Les policiers de la commune eux-mêmes saluent son enthousiasme, son énergie et sa constance. Ils voient en lui un allié crédible, un homme debout, toujours aux côtés de ceux qui servent. Un homme qui ne cède pas à la peur, qui affronte les tempêtes sans se détourner.
Chaque présence, chaque écoute, chaque action de Massillon JEAN témoigne d’une chose : il a choisi le sacrifice. Pas celui des discours. Celui du terrain. Celui du quotidien. Celui qui n’a rien de spectaculaire, mais tout d’essentiel.
Il ne cherche pas les projecteurs. Il avance avec discrétion, mais avec fermeté. Son engagement n’a rien de passager : il est ancré dans la terre, dans la commune, dans la confiance que les Kenscovites lui accordent jour après jour.
Il n’a pas encore de statue, ni de place publique à son nom. Mais dans les hauteurs de Kenscoff, dans les murmures des habitants, Massillon JEAN a déjà trouvé sa place : celle des bâtisseurs silencieux. Des vrais sacrificateurs.
À Kenscoff, il reste un homme debout. Et c’est déjà beaucoup. C’est peut-être même tout.
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